I have a dream my friends!...

Publié le par guerilla picardia

La nuit dernière j'ai fait un cauchemar affreux.
Un Français avait été élu président de la république!
Et il décidait que les lois française ne pouvaient s'appliquer qu'à des gens ayant une existence légale.
C'est à dire les citoyens français et les étrangers autorisés à séjourner en France.
Les autres, ceux qui, bravant la loi, s'introduisent ici en fraude pour nous civiliser, n'existaient plus au regard de cette loi qu'ils ignoraient.
Une partie d'entre se lancèrent bien sûr immédiatement dans des manifestations et des occupations d'immeubles administratifs, d'hôpitaux et d'églises pour défendre leurs droits acquis, et notamment les aides financières auxquelles ils s'étaient habitués.
Puis ils portèrent plainte contre ceux qui voulaient les en empêcher.
Horreur! Les services de police ignorèrent leurs plaintes, exactement comme s'ils n'existaient pas.
Devant leur légitime insistance, des policiers les jetaient à la rue, et des échauffourées s'ensuivirent, qui entraînèrent même des morts.
Les nouvelles plaintes furent ignorées de la même façon, sous prétexte que la loi ne peut protéger que ce qui existe, ce qui n'était plus leur cas.
Et c'est alors qu'une affreuse prise de conscience se fit jour: ils n'étaient plus du tout protégés, il était possible de les tirer dans la rue comme des lapins!
Ce fut alors une course éperdue vers les frontières, les ports et les aéroports. Ces malheureux se battaient pour quitter le pays pour lequel ils avaient tant donné!
Et les français les regardaient partir, tout contents de récupérer leurs emplois et leurs logements.
Pas même besoin de leur verser des indemnités ou de leur payer le voyage, pas besoin de les accompagner, ils se prenaient en charge!
Et les Français reprenaient possession des cités et se réhabituaient à vivre entre eux, à sortir le soir et à s'amuser.
Indifférents au sort des pauvres immigrés qui s'étaient sacrifiés pour leur enseigner la tolérance et le métissage.
A tel point qu'il n'était même plus utile de surveiller les frontières.
La peur suffisait à tenir à distance les malheureux du tiers monde, contraints de se tourner vers d'autres terres d'accueil.
Un cauchemar affreux, je vous dis.

Publié dans Politique

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G
quel cauchemar, je comprends ton désarroi, mais enfin ce cauchemar nous échoiera un jour, il faudra y faire face, préparons nous dès maintenant afin de réagir sainement ... en nous comportant comme des français dignes de ce titre .Que ce cauchemar se réalise pour le meilleur et pour la France !
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