Hommage à Serge de BEKETCH

Publié le par guerilla picardia

"En bientôt quarante ans de journalisme, j’ai, sur les mêmes imputations mensongères, subi une trentaine de condamnations qui sont autant de motifs de fierté." Et il ajoutait, le plus naturellement du monde : "Et l’on croit que je vais céder à cette nouvelle intimidation ? Je n’accepte pas la gestapo stalino-talmudique qui assimile à la haine raciste tout refus de la submersion démographique mais absout les insulteurs des Français, de la France et du catholicisme. Avec humilité, je me considère comme un Résistant dans mon pays occupé. Pupille de la Nation, j’aime la France comme ma mère (pas la république, qui est sa caricature en putain). Pour défendre sa mère, on a tous les droits et si on ne les a pas, on les prend.

Au surplus, j’ai été élevé dans une famille et un milieu où l’on n’est pas très impressionnable. Mon père, sous-officier de Légion Etrangère, est mort pour la France il y a cinquante ans. Quand les pourris qui livrent aujourd’hui notre pays apprenaient, à l’Ena, à Sciences Po ou à l’École de la Magistrature, à faire et à appliquer les lois dictées par leurs maîtres ténébreux, il donnait sa vie pour garder à la France un empire. Et l’on prétend aujourd’hui m’interdire de défendre l’ultime pré-carré que n’ont pas bradé les Mendès, DeGueulle et autres salauds ?

Mes deux grands-pères ont versé leur sang au feu. L’un, jeune officier de l’Armée impériale, aide de camp du général Dénikine, a tout perdu dans une guerre sans merci contre le communisme : parents, frères et soeurs, propriétés, biens. Arrivé en France avec sa jeune épouse, ruinée elle aussi, et un enfant né pendant l’exil, il a poursuivi son combat jusqu’au jour où il est mort pauvre. Et un Gauberg espère me bâillonner à coups d’amendes, comme il a juré de le faire pour toute la presse nationale ? Il n’y a que dans les contes talmudiques qu’on tire du lait en pressant une pierre.

Mon autre grand-père était à Verdun à vingt ans. A quarante-cinq ans, il participait à la Résistance. La vraie, pas celle des maquereaux qui ont mis leurs médailles usurpées au tapin. Et l’on voudrait m’interdire d’appeler à libérer, aujourd’hui comme hier, notre pays envahi, occupé, humilié ?

Mon enfance a été peuplée de récits de batailles, de prises d’armes, de saluts aux couleurs, de défilés, de remises de médailles, de célébrations du 8-Mai, du 11-Novembre. En famille, nous vivions sous le regard de nos héros. L’école militaire où j’ai passé mon adolescence porte le nom d’un ancien, tombé à 15 ans dans les combats de la Libération : Jacques Lorenzi. Aujourd’hui encore, j’écris entouré de photos de combattants de toutes les résistances. Aux occupants d’hier et d’aujourd’hui, mais aussi aux flics de la pensée, au lobby, au communisme et à la connerie. Et on voudrait que j’obéisse aux gestapettes de la pensée ?

Jeanne d’Arc est omniprésente chez nous et l’on espère me forcer à aimer les étrangers chez moi plus que chez eux, et à respecter des cultes imbéciles qui sont autant de célébrations de la Mort ?

… Je suis, je le sais, condamné d’avance. Cela ne me fera pas taire. Je continuerai à dire et à écrire que l’immigration est une colonisation de peuplement et l’islamisme un totalitarisme dont les Français ont le droit de se libérer."


La France a besoin de plus de Beketch... R.I.P.

Publié dans Politique

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F
<br /> Entretien du 6 décembre 2013 entre Philippe Ploncard d'Assac et Florian Rouanet pour un traitement pragmatique de l'actualité politique (N°6) : http://youtu.be/ViZDpkHZtZI<br />
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C
<br /> Lao Tseu le dit fort bien dans sa Sagesse : Plus un royaume impose de règles de conduite, et plus il y aura de personnes pour enfreindre<br /> ces règles. Remontons un peu dans l'histoire. A l'époque barbare, on punissait les criminels de manière atroce. Pour ma part j'ai entendu quelqu'un dire d'un chef de peuple : "...jusqu'à ce qu'il<br /> en fasse empaler un certain nombre." Il voulait dire par là que la punition a été efficace. Le recours à cette forme extrême de violence a eu un effet positif. Mais nous pouvons nous poser la<br /> question suivante : Sommes nous sûrs que la violence est le remède qu'il faut contre la violence.<br /> <br /> Combien de fois avons-nous entendu : Si je lui fiche mon poing sur la gueule, ça va le calmer. Celui qui dit ça le dit toujours par raport à un plus faible. Mais même le plus faible n'aime<br /> pas l'humiliation. Nous assistons alors à une escalade de la violence. La haine attise la haine. Si la vengeance est un plat qui se mange froid, c'est qu'elle sait attendre de se retrouver en<br /> situation de force. A un moment ou à un autre, on est plus fort que son ennemi.<br /> <br /> C'est bien là que nous en sommes aujourd'hui : nous assistons, imperceptiblement, à un durcisssement politique, la crise, avec son cortège de pauvreté, amène avec elle la crainte, les pauvres<br /> ont peur de la misère, et les riches ont peur de voir leur confort menacé.<br /> <br /> L'insécurité augmente, les dirigeants doivent faire face pour ne pas perdre la face. La pression de la part des riches se fait plus forte. Ils ont les moyens de contraindre, ils peuvent<br /> s'organiser en groupes de pression efficaces. C'est à tel point qu'on voit en temps de crise des choses étranges se produire : Les riches deviennent plus riches, leurs privilèges augmentent,<br /> l'industrie du luxe se développe. Les dirigeants, qui sont toujours du côté des riches, s'ils disent le contraire ne les croyez pas, en profitent aussi pour se remplir les poches. La tentation<br /> est grande, et les pauvres, s'ils sont dans la misère c'est que quelque part, ils le méritent. C'est la preuve que Dieu n'est pas avec eux.<br /> <br /> Alors on cherche des solutions pour remédier à la crise : Il faut aider les riches, car ce sont eux qui investissent et qui fournissent du travail aux pauvres. Si les riches ont de l'argent,<br /> alors tout va bien. Mais les riches ils ont peur, comme on l'a vu, et l'argent, ils le gardent pour eux. La peur engendre la prudence, et la prudence la radinerie. Soyons prudents, essayons de ne<br /> pas perdre notre argent, et si possible d'en gagner un peu plus. Que la crise ne soit pas pour nous un motif de découragement.<br /> <br /> La prochaine étape est la recherche de boucs émissaires. Ils nous faut des responsables. Et les pauvres sont les responsables tout trouvés. Je ne parle pas ici de la pauvreté d'argent, du<br /> moins pas seulement. Il y a d'autres types de pauvreté : tous ceux qui sont un peu étranges, un peu différents, sont suspects. Les étrangers, les chômeurs, ceux qui s'habillent différament, les<br /> moches... Voilà les responsables tout trouvés. En temps normal, on se serait juste moqué d'eux (un peu d'humour ne fait pas de mal), mais là, la situation est grave, c'est la crise, et c'est à<br /> cause de ces gens-là que la crise est arrivée. Ces paresseux, on n'en veut pas.<br /> <br /> "On les paye à ne rien faire." A-t-on entendu. Pourquoi ne pas leur donner du boulot ? Tout le monde serait content. Mais dans ce cas, on n'aurait plus de responsable. Et il en faut<br /> absolument. Et puis il faut que les gens bien, les travailleurs, ceux qui aiment montrer qu'ils travaillent, du moins quand une caméra est braquée sur eux, puissent travailler plus pour gagner<br /> plus, afin de montrer à tous ces cons de pauvres qu'ils n'ont rien compris à la vie. "Les riches ne sont pas ceux qu'on croie." Ce sont les pauvres qui sont riches, parce qu'ils passent la<br /> journée à discuter et à boire, alors que les riches, eux, ils sont obligés de travailler(les pauvres !).<br /> <br /> "Nous devons préserver notre identité". Ca ressemble beacoup à "nous devons faire attention à notre petit confort." Devant une discothèque on demandait aux gens qui voulaient entrer<br /> "Nationalité ?", si tu répondais "un million" tu rentrais sans problème. Ceux qui ont un porte-feuille bien rempli sont comme nous finalement.<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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